
En effet, ne pas prêter de l'argent à quelqu'un qui est pauvre, c'est faire preuve de discrimination, et nos états voleurs bien-pensants détestent la discrimination (sauf quand elle profite à leur propre mafia ou conforte leurs privilèges).
Si de plus le discriminé appartient à une minorité ethnique ou religieuse, ne pas lui prêter de l'argent peut être assimilé à du racisme. Voilà comment la fausse morale des voyous de l'Etat vient perturber la rationalité économique. Les étatistes ont ensuite beau jeu de critiquer les "dérives financières" qu'ils ont eux-mêmes causées !
Plus d'explications à l'Institut Molinari : le vrai scandale.
2 commentaires:
Merci pour la référence que j'ai complétée avec un article de Francis Pisani sur un post intitulé La crise ?
Pour ceux qui auraient encore des doutes :
"En 1995, un renforcement du Community Reinvestment Act (CRA) a imposé aux banques de trouver des moyens de fournir des prêts hypothécaires aux membres des communautés les plus pauvres."
C'est donc bien la règlementation qui a imposé aux banques de prêter à des insolvables. Il a fallu tout ce temps (12 ans, depuis 1995) pour que la bulle éclate.
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